Les déraisons - CouvertureRésumé :

« Adrien, employé modèle, mène une vie sans surprises, réglée au millimètre. Louise, artiste peintre, traverse le quotidien en le réinventant sans cesse. Leur rencontre métamorphose leur existence. Louise emporte Adrien dans les méandres de ses fantaisies, Adrien comble Louise d’un amour infini. Mais la vie prend parfois des détours inattendus. Lorsque la santé de Louise se dégrade, forte de son imagination et accompagnée d’Adrien, son allié de toujours, elle décide de se battre. De son côté Adrien, pour la première fois, déroge à sa routine : il quitte à l’insu de tous son travail monotone pour accompagner sa femme, et tente, avec elle et par la force d’un souffle créatif puissant, de vaincre la maladie. »

Mon avis :

Le premier roman d’une jeune autrice belge qui a fait parler de lui lors de sa parution ! Je l’ai lu dans le cadre du premier Prix des Libraires 10-18, ce fut ma première lecture, et malheureusement, je n’ai pas été séduite comme je l’espérais …

La rencontre improbable entre Adrien, un personnage banal, englué dans une routine métro-boulot-dodo, avec Louise, une artiste loufoque, pleine de fantaisie, de folie douce qui ne rentre dans aucune case. Elle va amener de l’originalité, du délire dans l’existence terne et monotone d’Adrien. Ce dernier va envelopper la jeune femme d’un amour immense et infaillible. Ils vivront heureux jusqu’à ce que le maladie rattrape la fantasque Louise. Elle va se battre contre elle et elle sera soutenue par son mari qui, complètement pas hasard, va quitter son emploi afin d’être toujours à ses côtés.

Un roman empreint de poésie et de dérision, sur un Grand Amour qui n’en revient pas de s’être trouvé et qui va vivre comme un déchirement et une ultime épreuve l’arrivée du cancer dans leur mariage.
Un récit, fantasque, sensible, et faussement joyeux !

Une découverte surprenant, originale !
Cependant, je suis restée assez hermétique à l’histoire, et je ne me suis pas attachée aux personnages.
Un rendez-vous manqué que je suis la première à regretter…

Intensité du coup de coeur