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CHARLESTON

Tu me retrouveras au bout du monde, Nicolas Barreau

Tu me trouveras au bout du monde - CouvertureRésumé :

« D’aucuns prétendent que des signes annoncent toujours les bouleversements d’une vie. Qu’il suffit d’ouvrir les yeux. »

« Lorsque Jean-Luc Champollion, jeune galeriste de talent et don Juan à ses heures, reçoit la lettre d’une énigmatique correspondante, ce ne sont que les prémices d’un irrésistible jeu de piste amoureux. Que désire cette femme qui distille savamment les indices et tarde à se dévoiler ? Comment la convaincre de tomber le masque ? Jean-Luc devra-t-il aller jusqu’au bout du monde pour la tenir enfin dans ses bras ? »

Coup de Coeur :

L’année passée j’avais découvert Nicolas barreau en lisant Le Sourire des femmes, et j’avais passé un agréable moment sans prise de tête, un agréable voyage dans les dessous de l’dition et des restaurants, avec des personnages attachants. J’étais donc plutôt curieuse de lire ce nouveau titre ! J’avais une légère appréhension car la quatrième de couverture me semblait assez similaire à la précédente, tout comme la couverture. Puis comme j’avais envie de légèreté et de lecture « guimauve », je me suis lancée.
Alors, pas une déception, ni un coup de coeur, une lecture agréable, un peu convenue, avec un petit côté adictive, et que j’ai lu très rapidement, comme on dévore un paquet de bonbons 😉

Le personnage de Jean-Luc Champollion, que ses proches appelent Le Duc ! il ne croit plus vraiment à l’amour depuis une déception lors de son adolescence. Pourtant quand il reçoit une mystérieuse lettre d’amour dans sa boîte aux lettres, il se prend au jeu de la correspondance avec l’énigmatique Principessa ! Au début, il veut surtout la démasquer puis le il prend beaucoup de plaisir dans cet échange épistolaire moderne (il reçoit une lettre papier puis le reste se fait par mail). Ils jouent une sorte de marivaudage avec un vocabulaire et des tournures de phrases plus travaillée, comme lors d’une époque révolue auourd’hui. Elle le connaît, elle l’aime en secret, et elle désire le rendre amoureux à son tour !
C’est joliment tourné, avec de gentils rebondissements. Malheureusement, j’ai rapidement soupçonné une certaine personne, et même si l’auteur brouille les pistes, mon intuition restait tenace, et j’avais deviné, avec certitude, bien avant Le Duc qui était sa mystérieuse Principessa.

Une comédie romantique légère qui m’a plongée dans le monde des galéries d’art parisienne, entrecoupée de lettres d’amour teintée de nostalgie et d’ironie. Les deux correspondants font preuve d’imaginations pour se surprendre, et ces textes un peu désuets m’ont agréablement surpris. Les personnages qui entourent le galiéristes sont sympathiques, il manque justement « d’ennemis » pour lui mettre un peu plus de batons dans les roues, c’est un peu trop « facile » car il se piège tout seul ^^

Un roman agréable, tendre, efficace, à l’écriture très fluide, avec une certaine poésie que j’ai refermé le sourire aux lèvres, même si je n’ai pas été aussi charmée qu’avec son titre précédent.

Citation :

« Étonnante, la précision avec laquelle on se rappelle plus tard ces détails futiles. Pourquoi la mémoire retient-elle ces choses insignifiantes? »

Intensité du coup de coeur
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