Le jour où la nuit s'est levée - CouvertureRésumé :

« Une « feel good » BD pleine d’optimisme !

L’hiver, en fin de journée…
Une tempête de froid et de neige s’abat sur Paris, bloquant plusieurs personnes dans la librairie de Clémentine. Dont Guillaume et Naori, maintenant installés dans la capitale, ainsi que Chantal l’écrivaine.
Cette bulle de temps imprévue sera l’occasion pour chacun de faire remonter ses souvenirs d’enfance, de réfléchir au poids de l’héritage familial, de l’éducation qu’il a reçue, à l’influence de ses parents et de sa famille sur sa vie et ses choix…
Jusqu’à ce que la tempête se calme et que la nuit se lève sur un nouveau jour… et peut-être une nouvelle façon de voir et de mener sa vie. »

Coup de cœur :

Il y a quatre ans, j’ai découvert Le jour où le bus est reparti sans elle, qui a été une très chouette découverte. Depuis, tous les ans, je lis le nouveau volet, ils sont un peu inégaux et ce cinquième a été une lecture agréable.

Nous retrouvons Clémentine dans sa librairie pour une séance de dédicace de Chantal, l’écrivaine. Celle-ci va être écourtée par une grosse tempête de neige. Clémentine et Sacha vont accueillir chez eux, le temps d’une nuit, celles et ceux qui ne peuvent rentrer chez eux, bloqué par les éléments.
Tous ensemble, ils vont partager une soirée particulière, à la lumière des bougies, avec du thé et des muffins à discuter et échanger. Sur l’impulsion de Clémentine, ils vont, tour à tour, raconter qui ils sont et d’où ils viennent. Ils vont replonger dans leur enfance, se souvenir de ce que leurs parents leur ont apporté, les enseignements inconscients qui leur ont imposé des croyances limitantes qu’ils doivent surmonter un peu tous les jours.
Ces confidences vont leur permettre de mettre des mots sur des souffrances cachées ou pas et d’envisager leur avenir sous un nouveau regard.

Le jour où la nuit s'est levée - case

Un nouvel album qui offre de nouvelles pistes de réflexions, nous ouvre les yeux sur certains comportements, certaines réactions et nous donne la possibilité de se poser les bonnes questions. Une histoire pleine de bienveillance.
Les dessins sont jolis, ils illustrent les propos des auteurs avec douceur, tendresse dans une palette pastel et reposante.

Un bel album, un cinquième volet qui semble peut-être clôturer un chapitre chez certains personnages et en ouvrir un nouveau chez d’autres.

Mes avis sur les volets précédents :