A en perdre le sommeil - CouvertureRésumé :

 » La vengeance est un art qui profite au crime. Tel est le fil rouge qui relie les nouvelles rassemblées dans ce recueil. À la suite des Douze indices de Noël, À en perdre le sommeil nous fait découvrir six histoires inédites savoureuses et expertement ficelées, sous la plume de la regrettée P. D. James. »

Coup de Cœur :

C’est le troisième livre que je lis de cette talentueuse autrice P.D. James, après La mort s’invite à Pemberley et Douze indices de Noël, et je suis une fois encore sous le charme !

C’est le dernier recueil de nouvelles de l’autrice britannique dont certaines se déroulent à Noël, il était parfait comme dernière lecture pour 2017 !
J’ai adoré retrouvé l’ambiance si typiquement british, sa plume élégante et ses nouvelles délicieusement élégantes!

Les six nouvelles sont toutes délicieusement rétro car elles se déroulent toutes dans les années 1930, 1940 et 1950, ça leur donne un cachet en plus ! Aucune de ces petites histoires n’est une enquête policière, elles reviennent toutes sur un crime qui s’est déroulé de nombreuses années auparavant, et surtout qui n’a jamais été élucidé ! Chaque nouvelle est surannée, pleine de surprises, joyeusement cruelle ! Elles expliquent comment chacun de ces meurtres a été parfait, et pourquoi les meurtriers n’ont jamais été appréhendé !
Parfois ce sont les meurtriers eux-même qui nous le racontent, parfois un témoin …

Chaque histoire raconte une vengeance, et c’est le fil rouge qui les relient toutes : on y retrouve des mensonges, de la manipulation, des trahisons … Je n’en dirai pas plus, il faut les découvrir !

Je les ai savourée une par soir, elles se dégustent et je vous les recommande chaleureusement !

Intensité du coup de coeur