Résumé :
« Après son divorce à la veille de ses 43 ans, Cecilia Dueñas fait ses valises et quitte son luxueux appartement avec terrasse et son poste dans un prestigieux cabinet d’avocats. Un nouveau départ l’attend dans la maison madrilène remplie de souvenirs qu’elle a héritée de ses grands-parents. Pour chasser sa solitude, elle transforme ce charmant pavillon sur les rives du Manzanares en pension pour étudiantes et établit un règlement intérieur : interdiction de fouiller dans les affaires d’autrui, d’écouter aux portes ou de ramener des hommes.
Mais les petits arrangements de ses turbulentes résidentes – et les tendres manigances des fantômes de ses grands-parents qui déambulent dans la demeure en pantoufles et tablier à fleurs – viennent bouleverser tous ses plans. Car même Cecilia ne peut empêcher l’amour de se frayer un chemin dans la plus belle pension du monde…
Mêlant aventure rocambolesque et un soupçon de mystère et de magie, un roman pétillant au rythme effréné. »
Coup de Cœur :
J’ai commencé cette adorable lecture un vendredi et ça m’a fait passer une beau week-end ! Un tout grand merci aux éditions Nami et au groupe Leduc pour leur confiance au fil des ans !
Un petit voyage en Espagne avec Cécilia qui retourne dans la maison de ses grands-parents, décédés, suite à son divorce et elle recommence une nouvelle vie
Un vrai roman feel-good qui nous emmène dans la culture espagnole !
Cecilia Duenas, 43 ans, change de vie après son divorce (malheureusement un grand classique, son mari a succombé au démon de midi et il l’a trompé avec une autre bien plus jeune). Elle prend un nouveau départ dans la maison de ses grand-parents décédés trois ans auparavant. Elle y garde de très beaux souvenirs et elle décide de rénover les lieux afin d’en faire une pension pour étudiantes (ce pavillon se trouve à proche distance de l’université).
Dés le début des travaux, son existence va être bouleversée : par Justice, un clandestin qui a élu domicile dans le cabanon de son jardin, par Andrés, l’entrepreneur bougon qui s’occupe des travaux et qui a une opinion sur toutes les décisions prises par Cecilia pour embellir les lieux, par Azucena qui répond tardivement à une petite annonce afin d’être une aide-ménagère pour ses grands-parents plusieurs années auparavant, puis par les trois jeunes femmes, les étudiantes, qui vont emménager dans les chambres nouvellement refaites : la belle Ivana, la discrète Noelia et la curieuse Catalina.
Cecilia met en place des règles de vivres ensemble afin que tout se passe au mieux, mais la vie se charge d’amener des rebondissements, des imprévus, de faire naître l’amour dans des moments inédits, de créer des liens et de prendre des décisions surprenantes. L’autrice emmène ses personnages dans un enchainement de situations inédites : vol, liaison, secrets, aventures, grossesse… Malgré certaines inimités et incompréhensions, ces femmes et ces hommes vont unir leurs forces pour combler la solitude, soigner leur blessure et découvrir la puissance de la solidarité. Les personnages sont touchants, chacun avec son histoire, son passé, ses failles.
Un roman doudou, réconfortant, coloré, parfois rocambolesque, avec des petites touches de magie, et surtout énormément de bienveillance et de tendresse.
Une histoire pétillante, fantasque, optimiste, chaleureuse, cosy et généreuse qui raconte un des chemins vers le bonheur.
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